Correspondance politique à un notable du Puy-de-Dôme. Paris 1er juin 1845. « Ayant appris que faute d’une somme de deux mille francs l’une des salles d’asile de Clermont allait peut être être fermée, je me suis empressé de les demander au ministre de l’Instruction Publique qui me les a accordés »… Il le prie d’annoncer la bonne nouvelle à Mmes les Directrices des salles… – Paris 4 avril 1846. Il donne des nouvelles des 2000 francs et demande comment Mme Dussuc a trouvé les lots que la Famille Royale a envoyés, « car je ne les ai pas vus et je les ai expédiés enveloppés comme je les avais reçus. J’espère qu’elle aura été contente de moi cette année »… – Vendredi [1848]. Il tient à être un des premiers sur la liste de candidats du parti modéré dans le Puy-de-Dôme. « J’ai été 6 ans député de Clermont, j’ai suivi la ligne politique que j’ai cru la plus convenable aux interets de la France : c.a.d. conserver le pouvoir aux hommes d’ordre, tout en cherchant à les faire avancer dans la voie du progrès »… Il croit avoir été indépendant et désintéressé, obligeant à tous ceux qui se sont adressés à lui, « pourvu qu’ils fussent honnêtes gens »… Il a refusé la députation proposée par le comité de l’Yonne afin d’être fidèle à son « berceau politique »… – Plus des invitations à dîner et à une partie de whist… On joint un billet écrit en son nom.